Évaluer le niveau de polluants dans les écosystèmes aquatiques.
Equitée | Local | Arrière-pays | Monde |
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  | X | X | X |
Les villes doivent sélectionner les mesures les mieux adaptées à la nature des plans d’eau locaux (cours d’eau, lacs ou zones côtières). Les plans d’eau artificiels et/ou canalisés peuvent être envisagés le cas échéant. Pour le mode de renseignement « élémentaire », sélectionnez au moins un grand cours d’eau, au moins trois grands lacs ou la zone côtière. Pour le mode de renseignement « avancé », inclure tous les grands plans d’eau locaux (cours d’eau classé au moins au quatrième rang en termes de taille et tout lac d’une superficie d’au moins 4 ha) et les zones côtières.
Pour les cours d’eau : mesurez la différence de rétention des nutriments à partir d’échantillons d’eau brute prélevés à des points d’échantillonnage prédéterminés en amont et en aval des plus grands cours d’eau de la ville.
Pour les zones côtières et les lacs : mesurez la superficie totale de l’eutrophisation.
Lorsqu’il n’y a pas de grands systèmes aquatiques sur leur territoire, les villes peuvent prendre en considération des cours d’eau et des lacs plus petits ou mesurer la pollution dans 3 systèmes situés dans un rayon de 10 km autour des limites géographiques de la ville (en prélevant à nouveau des échantillons en amont et en aval).
L’échantillonnage doit tenir compte des facteurs temporels et saisonniers qui affectent la qualité de l’eau. Les protocoles d’échantillonnage (c’est-à-dire la fréquence des mesures, l’échantillonnage pendant le débit de base ou les crues) doivent être précisés.
L’analyse des échantillons d’eau pour la rétention des nutriments mesure généralement les niveaux d’azote, mais elle peut également mesurer les niveaux de sédiments ou de phosphore, le cas échéant.
Des mesures des particules de déchets solides tels que les plastiques peuvent être envisagées.