3.3 Rivages et berges

  • Objectif

    Mesurer la santé et la restauration des écosystèmes aquatiques.

  • Zones affectées

    Equitée Local Arrière-pays Monde
     XXX
  • Instructions

    Calculez le rapport entre les zones de rivage naturalisées et aménagées pour les cours d’eau douce, les lacs, les zones humides et les aires marines de la ville. Tous les cours d’eau classés au moins au quatrième rang en termes de taille ainsi que les zones humides ou les lacs d’une superficie d’au moins 4 ha doivent être inclus.

    Les rivages naturalisés comprennent les surfaces poreuses naturellement végétalisées telles que les sols, les côtes sableuses ou rocheuses, les fonds marins et les cuvettes de marée, ainsi que les rivages restaurés ou artificiels présentant les mêmes caractéristiques. Ils comprennent la zone allant de la rive à la laisse de haute mer, ainsi que le fond marin ou la subsurface.

    Les rives artificielles comprennent les aménagements tels que les bordures en béton ou les enrochements, les pelouses tondues, les canaux ou les ponceaux. Les lits des cours d’eau ou des lacs et les subsurfaces subaquatiques qui ont été durcis, dragués, remplis, endigués, forés, minés, creusés de tunnels, soumis à un chalutage de fond ou modifiés d’une autre manière sans restauration sont également considérés comme aménagés.

    Dans le cas des cours d’eau, les deux côtés de la berge, y compris l’état du lit du cours d’eau entre les berges, sont considérés comme une unité équivalente en longueur à un seul rivage marin ou à un autre type de rivage.

    Dans le cas des lacs, les rives naturalisées également adjacentes à des lits de lacs naturalisés sont considérées comme des zones de rives naturalisées.

    Dans le cas des zones côtières, il convient de prendre en compte le littoral à marée haute ainsi que les écosystèmes associés adjacents (forêts de mangroves, cuvettes de marée, plages) et l’état du fond marin de la subsurface associé qui s’étend jusqu’au plateau continental. Les rivages côtiers naturalisés doivent présenter une zone intertidale et un fond marin en grande partie naturels pour être considérés comme naturalisés. On entend par « en grande partie naturel » le fait que les écosystèmes naturels couvrent la majeure partie de la zone et que toute intervention humaine, telle que les sentiers pédestres, a un impact minimal (par exemple, les chemins pour véhicules qui longent le littoral ne sont pas « en grande partie naturels », mais un front de mer piétonnier public doté de plateformes surélevées pour protéger les dunes et les sites de nidification pourrait être en grande partie naturel).

  • Alternatives

    Aucune

  • Notation

    • Tendance pluriannuelle positive établie
    • Tendance positive observée
    • Base de référence mesurée
    • Tendance négative observée
    • Données insuffisantes
    • Tendance inchangée
  • Liens vers les accords internationaux

  • Exemples pratiques

  • Ressources